Après Hallali !, polar qui explore le thème des conflits intergénérationnels, Isabel Lavarec signe un nouveau thriller captivant. Paru aux éditions Ex Aequo, Le Diable à Marier est le quatrième volet des aventures de l’héroïne fétiche de l’autrice française : Halinea, une adolescente qui raconte ses aventures dans ses « Carnets d’enquête ».
Avec Le Diable à Marier, Isabel Lavarec s’attaque aux rencontres amoureuses sur catalogue, entrainant son héroïne jusqu’aux Philippines pour traquer un tueur en série.
Les Carnets d’enquête d’Halinea sont un ensemble de romans policiers d’Isabel Lavarec. Le premier opus, Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé, est paru en 2017, suivi par L’affaire Stéphanie et Hallali, qui a rencontré un bel accueil de la presse.
Destinés aux grands adolescents, aux jeunes adultes et aux adultes amateurs de romans policiers, les Carnets d’enquête d’Halinea forment une série qui a pour fil rouge l’amour impossible entre Halinea et le gitan Kiero.
Les romans sont racontés par la voix d’Halinea, qui rédige jour après jour ses aventures dans ses carnets. Les lecteurs sont plongés dans son quotidien, partageant ses investigations et ses péripéties, et suivant pas à pas sa quête de la vérité : ils voient l’héroïne déconstruire progressivement des murs pour construire un ensemble de petits ponts libérateurs.
Halinea, Mossa, sa grand-mère et Caro, son amie d’enfance habitent une ville balnéaire du sud de la France, dans un lotissement qui entoure une piscine. Jacques le policier vient leur rendre visite régulièrement. Depuis toujours, notre héroïne veut suivre la même voie que sa grand-mère et être détective privée.
Dès la troisième, elle en a l’occasion : un mercredi après-midi, alors qu’elle joue au ballon avec ses camarades de classe (Caro et Kiero le gitan, son ami de cœur), une broche aux yeux de rubis disparaît chez l’ancien militaire d’en face. Qui accuse-t-on ? Le gitan bien sûr, les préjugés sont là ! Son amie ne le supporte pas. Contre les avis de sa grand-mère et du policier Jacques, elle prend de grands risques et mène l’enquête tambour battant. Puis, pensant à Einstein, son physicien adoré, elle intitule sa première enquête : « il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé. »
Cette aventure ne fait qu’augmenter son goût pour l’investigation. Rassurée par l’amour que lui porte Kiero, les mises en garde suivies d’interdictions de ses proches ne l’éloignent pas de son projet. Au contraire. Cœur vaillant, sensible, vibrant, plein de tendresse et d’enthousiasme, elle se sent une âme de justicier.
La voilà en seconde. Sa motivation pour débusquer les coupables de délits ou de crimes ne s’est pas éteinte pendant les grandes vacances. Cependant, ayant pris conscience de ses lacunes et manques, elle comprend qu’elle doit se perfectionner. Pour ce faire, elle réussit à obtenir un stage au commissariat, dans le service dirigé par Jacques, le nouveau chef de brigade. Elle espère bien y intégrer une équipe de professionnels et remplir le carnet N° 2 « l’affaire Stéphanie », mais en aura-t-elle l’opportunité ? Ne se nourrit-elle pas d’illusions ? Ce sera « l’affaire Stéphanie ».
Être confrontée en première à des tueurs en série ne fait qu’accroître son goût pour l’investigation policière.
Hallali, le cri de cor annonçant qu’une bête poursuivie est aux abois, est bien l’illustration de ce que vit Halinea, lorsque, dans le feu de l’action, elle se jette dans la gueule du loup. Ou plutôt, dans celle de celui qui tue les dames de 65 ans en désir d’amour. Qui l’emportera ?
Un diable à marier utilise, lui aussi, le catalogue papier ou numérique de « recherches d’âme sœur » tant prisé. Où conduisent ces mariages ? Une affaire compliquée, dangereuse et difficile à élucider. Halinea réussira -t-elle à la résoudre ?
Chacun des polars de la série Les Carnets d’enquête d’Halinea est consacré à un thème touchant les adolescents : l’ostracisme et le racisme pour le tome 1, la phobie scolaire pour le tome 2, et le conflit intergénérationnel dans le tome 3.
Le Diable à marier, quant à lui, est consacré aux rencontres amoureuses sur catalogue papier ou sur internet. L’autrice aborde ce thème sous l’angle de la mise en garde, sans être moralisatrice. Elle pose la question : « qui se cache derrière un profil internet ? », et montre que ce type de rencontre peut mener loin, très loin, y compris là où on ne veut pas aller.
Synopsis
« Un tertre en forme de tombe, trouvé sur la berge du fleuve qui longe la ville et voilà une nouvelle affaire à investir. Cette dernière semble simple en apparence, mais Halinea qui a décidé, envers et contre tous, d’en tirer les ficelles s’aperçoit rapidement que tout est plus complexe et plus dangereux que prévu… Elle se promet d’aller jusqu’au bout et de démasquer l’être immonde qui se croit invincible. Le diable ne se cache-t-il pas entre les lignes ? »
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Portrait d’Isabel Lavarec
Isabel Lavarec a un riche parcours dans les domaines de l’enseignement et de l’écriture. Professeure agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre, elle a enseigné en formation initiale et continue pour adultes en lycée, école normale, IUFM et université.
Sa carrière l’a entrainée dans plusieurs pays et territoires d’outre-mer, de la France à Tahiti en passant par la Martinique et l’Algérie. Elle a été directrice du département Sciences de l’IUFM de Nice et responsable départementale de l’action « Main à la pâte ».
Aujourd’hui à la retraite, elle se consacre pleinement à l’écriture, transmettant son expérience de vie au travers de romans policiers, fantastiques, contes et nouvelles. Comédienne dans une troupe de théâtre d’amateurs, elle s’est initiée à l’art de conter au Centre Méditerranéen Langue Orale (CMLO) et à la pratique des entretiens en ethnologie avec l’ethnologue Catherine Barrière.
Isabel Lavarec est adhérente à la SGDL (Société des gens de lettres), à la SOFIA, à la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse, à LR2 (Occitanie), et à ADA (Autour des Auteurs). Elle est également membre de l’académie Arts-Sciences-Lettres.
Bibliographie de l’autrice, de la science à la fiction
La fiction n’est pas la première incursion d’Isabel Lavarec dans l’univers de l’écriture. De 1980 à 1997, elle a signé de nombreuses publications sur la pédagogie et la didactique des sciences dans des revues spécialisées.
Elle a ensuite écrit plusieurs manuels scolaires pour l’école primaire, dont La découverte du monde vivant en milieu tropical aux éditions Nathan, Questionner le monde vivant, des objets et de la matière en cycle 2 aux éditions SED, et Découvrir le monde vivant (biologie et français transversal) cycles 2 et 3 aux éditions SED.
En 2017, Isabelle publie son premier ouvrage de fiction, Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé, aux éditions Oskar. Deux ans plus tard sort son roman policier historique pour adultes Un cadavre à la consigne aux éditions Ex-Aequo.
En 2020 et 2021, l’autrice publie plusieurs ouvrages : le roman fantastique pour adultes Lili la première femme de Vitruve (éditions Encre-rouge), le roman jeunesse L’affaire Stéphanie, carnet d’enquêtes d’Halinea (éditions Ex-Aequo), le livre d’aventures Naïs et Totoche au temps des pharaons (éditions Ex-aequo) et le roman jeunesse Hallali aux éditions Ex-aequo).
Isabel Lavarec écrit également des nouvelles ; sa nouvelle « Éclats de vie d’Olympia, la Sicilienne » lui a valu d’être lauréate des Arts et Lettres de France en 2020. Elle a reçu plusieurs autres distinctions : elle a été lauréate au concours international littéraire organisé par les Arts et Lettres de France en 2019 à 2022 sections contes (« La symphonie du bonheur »), nouvelles (« Prendre sa place rien que sa place ») et romans (Lili la première femme de Vitruve).
Arts et Lettres lui a décerné une médaille de bronze pour son œuvre de 2020-2021. En 2022, elle a remporté le concours international Arts et Lettres de France avec sa nouvelle « Dimanche soir vu par Irène et Léon ».
Pour en savoir plus
Site web : https://www.mollisa.fr
Facebook : https://www.facebook.com/isabellavarec44
Instagram : https://www.instagram.com/isabel.lavarec/channel/
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Contact presse
Isabel Lavarec
Email : isabel.lavarec@gmail.com
Tél. : 33 6 79 33 32 59
On en parle
Le diable à marier par le comité de lecture et l’éditrice jeunesse Suzanne Max
Le diable à marier est un roman de Isabel Lavarec, publié en collection Passerelle, et destiné aux lecteurs à partir de 14/15 ans. Parution: juillet 2022 Voici le quatrième opus des carnets d'enquête d'Halinea. Cette adolescente au caractère bien trempé, curieuse et décidée (parfois un peu exaspérante aussi !) est la petite-fille d'une détective. Alors, forcément, les enquêtes, ça la connaît. Cette fois, elle aura affaire à un violeur et criminel en série, et dès le début du roman on la retrouve en très mauvaise posture. Comment en est-elle arrivée à cette situation ? Eh bien, un retour de 5 mois en arrière va permettre au lecteur de suivre pas à pas les péripéties qui précèdent. Car Halinea note au jour le jour dans ses carnets tout le suivi de son enquête. Un journal, donc, tenu par une adolescente, où l'on trouve ses questionnements, ses hésitations, ses coups de tête et ses coups de cœur.
L'auteure aime jouer sur plusieurs registres. Il y a bien enquête, mais pas seulement. Elle y aborde aussi le thème des dangers que peuvent représenter les rencontres sur internet; elle n'hésite pas à faire voyager le lecteur aux Philippines; et bien entendu elle n'oublie pas l'aspect sentimental et les histoires de cœur d'Halinea, parfois un peu compliquées ! Pour ces raisons-là, le roman est original, peut même dérouter un peu quand il suit les hésitations d'Halinea entre ses deux prétendants, Kiero l'ami gitan d'un côté et Ramos l'amoureux philippin de l'autre, ou encore lorsque le lecteur se retrouve aux côtés d'Halinea sous les tropiques. Comme elle le dit elle-même: "Bonjour Manille, bonjour le dépaysement." Se greffent aussi les relations intergénérationnelles, pas toujours faciles comme en témoignent certaines discussions, même si Halinea est très attachée à sa grand-mère. Le livre est-il un polar? un thriller? un journal intime? Il est un peu tout cela. Le ton n'est pas dénué d'humour, on passe assez facilement d'une situation dangereuse aux réflexions personnelles de l'héroïne sur ses sentiments (qu'elle a du mal parfois à définir), sur les adultes qu'elle côtoie et sur le monde qui l'entoure.
Pourquoi on aime
Un personnage qui ne laisse pas indifférent: Halinea est une héroïne qui sort de l'ordinaire. Avec son caractère bien trempé, ses remarques parfois acerbes, ses hésitations sentimentales et sa manière très personnelle de mener sa barque, elle peut à la fois séduire et irriter, et c'est sans doute son point fort. Elle est en tout cas obstinée, courageuse et ne manque pas de charme aux yeux de ses prétendants. Une ado d'aujourd'hui, un personnage moderne avec ses qualités et ses défauts, c'est ce qui fait son originalité.
Un prologue et un retour en arrière qui mettent le lecteur dans le bain aussitôt. Le roman est construit de façon à capter d'entrée le lecteur: la première scène de prologue présente Halinea comme la prochaine victime, prisonnière du violeur. La plus grande partie du roman est donc ensuite un retour en arrière, jusqu'à ce que l'on revienne à la date du prologue afin de permettre à Halinea d'arriver à la conclusion de l'enquête, et de confondre le coupable. Pour qui Pour des adolescents et pour tout public au-delà . Bien que paru en collection Passerelle, le roman peut s'ouvrir à un lectorat plus vaste. Lien vers la boutique
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Résumé :
Un tertre en forme de tombe, trouvé sur la berge du fleuve qui longe la ville et voilà une nouvelle affaire à investir. Cette dernière semble simple en apparence, mais Halinea qui a décidé, envers et contre tous, d’en tirer les ficelles s’aperçoit rapidement que tout est plus complexe et plus dangereux que prévu... Elle se promet d’aller jusqu’au bout et de démasquer l‘être immonde qui se croit invincible. Le diable ne se cache-t-il pas entre les lignes ?
Les carnets d’enquêtes forment un ensemble de romans policiers et de thrillers. Après Il est plus difficile de désintégrer un atome qu’un préjugé, L’affaire Stéphanie et Hallali voici le quatrième carnet : Le diable à marier. L’amour impossible né entre Halinea et Kiero est un fil rouge qui relie les différents carnets.
Au travers de ces divers polars à multiples rebondissements, des thèmes touchant les adolescents sont abordés (phobie scolaire, racisme, relations intra et intergénérationnelles, drogues, dangers insoupçonnés : qui se cache derrière un profil internet lors de rencontres sur catalogues ou sur des sites spécialisés…)
coquinnette1974 06 septembre 2022
Voici mon retour de lecture sur le roman pour ados / jeunes adultes : le diable à marier d'Isabel Lavarec qui m'a gentiment été envoyé par Suzanne Max, des éditions Ex Aequo.
Petite précision concernant cet ouvrage : Les carnets d'enquêtes forment un ensemble de romans policiers et de thrillers.
Après "Il est plus difficile de désintégrer un atome qu'un préjugé", "L'affaire Stéphanie" et "Hallali" voici le quatrième carnet : "Le diable à marier."
Je n'ai pas lu les précédents carnets toutefois j'ai compris ce roman sans problèmes.
Voici le résumé :
Un tertre en forme de tombe, trouvé sur la berge du fleuve qui longe la ville et voilà une nouvelle affaire à investir.
Cette dernière semble simple en apparence, mais Halinea qui a décidé, envers et contre tous, d'en tirer les ficelles s'aperçoit rapidement que tout est plus complexe et plus dangereux que prévu..
Elle se promet d'aller jusqu'au bout et de démasquer l‘être immonde qui se croit invincible.
Le diable ne se cache-t-il pas entre les lignes ?
Le diable à marier fait partie de la collection Passerelle Thriller pour tous, à partir de l'adolescence.
J'adore les romans de cette collection mais cette fois ci mon avis est très mitigé.
Nous suivons une jeune fille : Halinéa, 16 ans. C'est une des enquêtrice principale de cette histoire mais j'ai eu beaucoup de mal à accrocher avec cette jeune fille.
Je trouve les passages parlant de sa vie un peu long, il y a des lenteurs ici et là.
Le ton ne correspond pas toujours à celui d'une jeune fille de son âge.
Son caractère m'a parfois agacé, et c'est peu dire.
Quand à sa façon de parler à sa grand-mère, également enquêtrice, elle m'a fortement déplu. Un peu de respect envers les plus âgés s'impose, non mais oh !!
Je me suis fréquemment perdue dans ma lecture, à mon grand regret.
Je trouve que l'autrice passe parfois du coq à l'âne comme si certains passages n'étaient pas aboutis, ce qui là encore a ralentit ma lecture.
Ce n'est pas un mauvais roman, il reste intéressant car l'enquête en elle même est très intrigante. Je me suis souvent demandé où l'autrice allait m'emmener et comment tout cela allait se terminer.
Et puis, il traite très bien d'un thème fort à aborder sans hésitation avec les ados, jeunes adultes : la violence faites aux femmes, la traite des femmes, le fait de se cacher derrière un ordinateur en se faisant passer pour quelqu'un d'autre..
Il y a donc de bonnes choses dans le diable à marier, même si je ne suis pas certaine d'en garder un grand souvenir.
Ma note : trois étoiles.
NLG 26 novembre 2022
Lors d'une sortie scolaire, Halinéa et ses amis découvrent sur les berges du fleuve un monticule de terre ayant les dimensions d'un corps humain.
Il n'en faut pas plus à cette détective en herbe, pour se lancer dans une enquête afin de découvrir qui est dissimulé dans ce qu'elle imagine être un tombe.
Elle va apprendre à ses dépends que l'affaire va être plus complexe et dangereuse qu'elle le pensait !
Ma 1ère lecture de cette auteure avec ce 4ème carnet d'enquêtes d'Halinéa.
Dès le prologue, l'auteure fixe l'ambiance d'un thriller avec Halinéa aux prises d'un abominable personnage.
La suite est contée avec le récit de la 1ère découverte d'Halinéa avec les aléas de ses investigations qui ont suivi et ses soupçons qui l'ont entraîné à enquêter.
La narration est faite par l'adolescente de 16 ans au caractère bien trempé parfois agaçante, parfois attachante.
C'est avec détermination qu'elle mène ses investigations, quitte à bousculer son entourage. Mais elle peine à dompter ses sentiments amoureux souvent contradictoires.
Au fil des chapitres, sous l'oeil attentif de sa grand-mère détective, Halinéa va flairer une arnaque des plus sordides, perpétrée via internet. Elle va jusqu'à entraîner son entourage et le lecteur jusqu'aux Philippines sur les traces d'un tueur en série.
À travers ce thriller, l'auteure aborde des sujets d'actualités tels que la violence faite aux femmes et les dérives des sites de rencontres où sévissent des détraqués sans scrupules à la recherche de leurs proies.
Lien : HTTPS://IMAGESDEROMANS.BLOGS..
Ma note : 4 étoiles
Rainfolk 29 octobre 2022
Dans son roman policier le Diable à marier, Isabel Lavarec s'attaque aux rencontres virtuelles et aux rencontres amoureuses sur catalogue.
Après Hallali !, polar qui explore le thème des conflits intergénérationnels, Isabel Lavarec signe un nouveau polar captivant. Paru aux éditions Ex Aequo, le Diable à Marier est le quatrième volet des aventures de l'héroïne fétiche de l'autrice française : Halinea, une adolescente qui raconte ses aventures dans ses « Carnets d'enquête ».
Avec le Diable à Marier, Isabelle Lavarec s'attaque aux rencontres amoureuses sur catalogue, entrainant son héroïne jusqu'aux Philippines pour traquer un tueur en série.
Lien : HTTPS://RAINFOLK.COM/2022/10..
Ma note 5 étoiles
Nathalie Glévarec
Dans la série dédicace/illustration, 1ère entrée d'Isabel Lavarec-Molina dans mon blog :https://imagesderomans.blogspot.com/
Lors d'une sortie scolaire, Halinéa et ses amis découvrent sur les berges du fleuve un monticule de terre ayant les dimensions d'un corps humain.
Il n'en faut pas plus à cette détective en herbe, pour se lancer dans une enquête afin de découvrir qui est dissimulé dans ce qu'elle imagine être un tombe.
Elle va apprendre à ses dépends que l'affaire va être plus complexe et dangereuse qu'elle le pensait !
Ma 1ère lecture de cette auteure avec ce 4ème carnet d'enquêtes d'Halinéa.
Dès le prologue, l'auteure fixe l'ambiance d'un thriller avec Halinéa aux prises d'un abominable personnage.
La suite est contée avec le récit de la 1ère découverte d'Halinéa avec les aléas de ses investigations qui ont suivi et ses soupçons qui l'ont entraîné à enquêter.
La narration est faite par l'adolescente de 16 ans au caractère bien trempé parfois agaçante, parfois attachante.
C'est avec détermination qu'elle mène ses investigations, quitte à bousculer son entourage. Mais elle peine à dompter ses sentiments amoureux souvent contradictoires.
Au fil des chapitres, sous l'oeil attentif de sa grand-mère détective, Halinéa va flairer une arnaque des plus sordides, perpétrée via internet. Elle va jusqu'à entraîner son entourage et le lecteur jusqu'aux Philippines sur les traces d'un tueur en série.
À travers ce thriller, l'auteure aborde des sujets d'actualités tels que la violence faite aux femmes et les dérives des sites de rencontres où sévissent des détraqués sans scrupules à la recherche de leurs proies.@
Ma note 5 étoiles